Voyage En Belgique, Vers L’Enfer. (11/20)

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Arrivé dans la chambre qu’elle a partagée avec Annabelle hier au soir, je l’aide à entrer dans la baignoire où je lui fais une toilette complète et intime, je m’attarde sur son fessier qui a subi un grand nombre de coups de cravache comme celui de Noémi hier.
Sa fourche épilée est douce comme une peau de bébé, moi qui n’aie jamais eu de pensée érotique envers les femmes avant Noémi, le contact de la peau de mon petit cœur me fait passer des frissons jusque dans ma chatte.
Je me déshabille afin de la rejoindre dans l’eau, elle parcourt l’intégralité de mon corps avec le gant savonné !
La petite vicieuse, elle en profite pour s’attarder entre mes grandes lèvres et trouver mon clitoris qui n’attend que cela.
Je lui prends la tête entre les mains et nous nous prenons les bouches, nos langues se trouvent et nos chattes mouillent malgré l’eau qui nous entoure, je l’aide à sortir, car si elle a une résistance exceptionnelle, le supplice de la roue a laissé des traces sur tout le côté pile de son anatomie.

Une fois de plus le repas a été apporté pendant que nous nous savonnions, je prends un oreiller que je place sous les fesses de ma poupée blonde.
À la fin du repas, elle s’allonge la croupe en l’air, je lui passe le baume qui nous a été apporté en même temps que les plateaux.
Sa position les fesses vers le ciel, me regardant ses bras enroulés avec sa tête appuyée dessus souligne son caractère espiègle, je caresse son joli fessier doucement pour faire pénétrer le baume.
Un mouvement de sa jambe qui s’écarte légèrement fait apparaître sa petite mangue bien juteuse qui appelle ma main libre, j’introduis trois doigts en ce joli vagin impatiente de le gober dans les prochaines minutes.
Elle mouille énormément, je n’ai aucun mal à les faire glisser.

• Aimes-tu ?
• Oui, Léa, ce sont les plus doux que j’ai eus dans ma petite grotte.


• En as-tu eu beaucoup ?
• Depuis que l’on m’a à venir ici, je ne les compte plus.
• Avant ?
• Pas vu une de ma vie !

Pendant notre discussion mes doigts la masturbent sans essayer de faire exploser sa vulve, je sens qu’elle a envie de parler.

• Comment t’ont-ils pris dans leur filet ?
• J’étais chez ma nounou qui m’élève depuis 10 ans à qui je leur ai été confiée.
Maman ne pouvait pas m’élever, son travail ne la libérant qu’un week-end sur quatre.
• Que s’est-il passé !

Je caresse toujours et ses fesses et sa chatte qui mouille de plus en plus.

• Je rentrais d’une boîte avec ma mob, j’avais passé la soirée avec Alain, mon boy-friend, j’avais failli perdre ma virginité.
Mon hymen me pesait, car mes copines au lycée l’avaient toute perdue.
Alain avait un peu picolé, ses gestes étaient trop brusques et il me faisait mal. Il m’avait coincé le long d’un arbre et lorsqu’il m’embrassait, je sentais l’alcool qu’il avait ingurgité, il s’est mis à farfouiller dans son pantalon.
J’ai senti quelque chose de dur le long de ma cuisse, il a carrément arraché mon string et sans ménagement, a essayé de me pénétrer, j’ai remonté l’un de mes genoux qui l’a atteint là où cela fait mal.
Depuis des semaines, j’avais sacralisé ce moment qui reste à une fille dans sa mémoire toute sa vie, le long d’un arbre, j’étais loin d’en avoir rêvé !
Je suis monté sur ma Mobylette démarrant le plus rapidement possible, alors qu’il essayait de me rattr, j’ai réussi à fuir grâce à son pantalon tombé sur ses pieds.
Arrivé devant la maison, je ne sais pas ce qui s’est passé, j’ai senti que l’on me ceinturait et que l’on m’appliquait un tissu avec une drôle d’odeur sur ma bouche et mon nez.
La dernière chose que j’ai sentie, c’est que l’on me jetait à l’arrière d’une camionnette.

J’ai beau la caresser doucement, mes doigts commencent à l’échauffer, son mignon postérieur se tortille langoureusement, je me penche vers sa bouche qu’elle me donne avec dans ces yeux un trouble qui me va droit vers mon cœur.


• Léa, tu viens de me faire jouir.
Un petit frisson m’a parcouru, c’était bon.
• Je vais encore te faire partir, mais continu ton histoire mon petit roudoudou.
• Je te disais que j’ai perdu connaissance.
Je me suis réveillé où et quand, je ne le saurais jamais, j’étais dans une chambre identique à celle-ci, elle était dans les tons bleus, j’étais nue.
Ma chatte avait été rasée, j’ai ressenti une gêne au cou, j’y ai porté ma main et j’ai senti une lanière, j’ai essayé de l’arraché, mais elle était trop solide, je n’ai pas pu en découvrir plus.
La porte s’est ouverte et deux hommes sont entrés, ils étaient nus, j’ai crié de peur, mais cela ne les a pas arrêtés, ils se sont rués sur moi et m’ont ceinturé. L’un d’eux avait apporté une ceinture, elle leur a permis d’attacher mes bras devant moi.
Je ne sais pas s’il prenait du plaisir à faire ce qu’ils me faisaient, mais ils bandaient fortement.
À part la bite d’Alain qu’il m’avait montrée lors d’une soirée arrosée, je n’en avais vu, que sur des photos ou dans des X sur Internet.
L’un d’eux m’a pris par un bras comme un fétu de paille et m’a placé en levrette au bord du lit ma tête dépassante, le deuxième s’est avancé en tenant son sexe et a voulu que j’ouvre mes lèvres.
J’ai encore plus serrés mes mâchoires, il m’a balancé une baffe qui m’a touché en pleine tête et qui m’a fait tomber du lit.
Il m’a ramassé et m’a replacé comme ils m’avaient mis auparavant, il a rapproché sa verge attendant que je cède, voyant que je résistais, le deuxième a bouché mon nez et ma bouche, jusqu’au moment où j’ai été obligé de respirer, j’étais à leur merci.
Au moment où le chemin se libérait pour me l’enfoncer dans ma gorge, j’ai entendu.

« Si tu mords, tu es morte. »

• S’il ne me l’avait pas dit, je n’y aurais certainement pas pensé, mon cerveau ayant du mal à être clair, mais aussitôt entrer, mordre et mourir, dans la situation où j’étais sans savoir pourquoi j’ai rapidement choisi, mourir !
J’ai donné un coup de dents et j’ai serré jusqu’à ce qu’un goût de sang arrive dans ma bouche, en même temps qu’un grand cri, un coup dans la tête m’a renvoyé dans les bras de Morphée.


Mes doigts ne se sont pas arrêtés, maculés de ses sécrétions, la position doit commencer à lui peser, elle se tourne, évacuant mes doigts de sa minette, dans le même mouvement ouvrant ses cuisses, me dévoilant sa jolie fente rose.

• Lèche-moi Léa, j’ai trop envie, après la journée de frustration de vous entendre aller et venir avec les clients sachant que je perdais de l’argent pour atteindre mon but.

C’est le genre de demande que j’adore honorer, je viens dans sa fourche et plonge ma langue entre ses grandes lèvres qui s’ouvrent pour que je puisse atteindre ses parties les plus tendres.
Comme je l’avais pressenti avec mes doigts, sa foufoune est dégoulinante !
Je prends de plus en plus de plaisir à faire l’amour avec des femmes, changerais-je de nature ?
Mon corps rejette-t-il les verges des hommes que je suis obligé de recevoir alors que je ne l’ai pas décidé.
Si c’est le cas, je suis prête à accepter ma nouvelle condition et devenir lesbienne, Marjorie suit-elle le même raisonnement, mais quand je mordille son clito des Oh ! de contentement sorte de sa gorge, j’adore la voir se tortiller comme pour m’échapper mais en réalité pour mieux imprimer son sexe dans ma bouche.
Son corps réagit et ses reins reçoivent la décharge dont elle a envie et dont elle a rêvé sur cette maudite roue, son histoire est tellement incroyable que, lorsqu’elle essaye de venir s’occuper de mon intimité, je lui fais comprendre que j’attends la suite.

• Lorsque j’émerge, je suis à nouveau seule, la porte est ouverte et je vois entrer deux autres hommes habillés ceux-là.
Je connais l’un d’eux, il s’appelle Hugo et est un grand copain du mari de ma nounou, depuis 4 à 5 ans qu’il est apparu un jour chez nous, il a toujours été prévenant avec moi.
Il adorait que je vienne sur ses genoux, à partir de mes 14 ans, je me suis confié à Louise ma nounou que je devenais une femme et que je ne supportais plus ses manières de me traiter, Louise a dû faire le nécessaire, il a arrêté.

Un jour, alors que je travaillais sur mon ordinateur à mes cours d’anatomie, ils avaient un peu bu, et ne faisaient plus attention à moi, mon père a commencé.

« Vous vous en sortez avec vos gonzesses. »
« En trouver c'est assez facile, mais les faire turbiner tous les jours c’est difficile, j’espère beaucoup dans la nouvelle génération, elles sont tellement chaudes du cul, que je pense qu’elles vont faire le métier par plaisir.
La libération des mœurs depuis 1968 a bien aidé, sans parler de la pilule et des avortements.
Crois-tu que la tienne nous donnera beaucoup de satisfactions ? »

• C’est « la tienne » qui m’a étonné, ils parlaient des filles jeunes et chaudes du cul, ici dans cette maison « la tienne », il n’y en a qu’une, c’est moi.
Louise qui tricotait sur le canapé a compris la pente glissante que leur conversation prenait avec moi dans la pièce, elle leur a demandé sèchement de se taire.
Quand Hugo entre donc, j’ai récupéré toutes mes facultés, j’ai toujours les mains attachées par la ceinture.

« Tu es réveillée, tu as de la chance, il n’a qu’une coupure, mais qui l’oblige à aller à l’hôpital pour se faire recoudre, si tu l’avais émasculé, tu étais morte.
J’avais donné des ordres pour qu’ils t’amadouent, mais pas pour que tu les massacres. »

• L’autre homme que je ne connais pas s’approche et me replace en levrette le sexe au bord du lit, la glace placée dans la chambre me permet de voir ce qu’ils font derrière moi.
Hugo défait son ceinturon qu’il replis pour faire une boucle, avant le premier coup, je voie déjà que mon postérieur va le sentir passer.
Mon père depuis que je suis petite est un adepte de la fesser les fesses à l’air. Il ne s’est pas passé une semaine chaque fois qu’il est bourré pour trouver un motif de satisfaire sa perversion.
Pas plus tard que deux jours avant, il m’avait fessé étant rentré 5 minutes en retard, une seule fois, ses doigts ont frôlé l’intérieur de ma chatte, mais Louise veillait et une nouvelle fois l’a rappelé à l’ordre.
Entre une main et un ceinturon, la différente est énorme et le premier coup que je reçois fait sortir un hurlement de ma bouche…

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